Si tu craques, c'est peut-être que tu te prives trop d'un coup. Au lieu d'un régime draconien, essaie plutôt de modifier tes habitudes progressivement. Commence par remplacer les sodas par de l'eau, ensuite réduis les portions de frites, etc. Des petits changements, mais constants. Et surtout, ne te prive pas complètement de ce que tu aimes, juste réduis les quantités. C'est plus facile à tenir sur le long terme.
C'est une excellente approche VintageTouch59 ! La progressivité, c'est la clé.
Dans le même esprit, je partage une vidéo qui propose un challenge de 7 jours pour rééquilibrer son alimentation. L'idée, c'est de prendre de nouvelles habitudes en douceur.
Hello SparkleToes, et salut DJ Vif64 et VintageTouch59 pour vos premiers conseils,
Je rejoins l'avis sur la progressivité, les régimes trop stricts sont souvent voués à l'échec, c'est un fait. En tant qu'experte en santé environnementale, je vais peut-être aborder la question sous un angle un peu différent, mais complémentaire.
Au-delà de la restriction calorique (qui a son importance, bien sûr), il faut aussi considérer l'impact de notre environnement sur notre métabolisme. On parle beaucoup des perturbateurs endocriniens présents dans les plastiques, les cosmétiques, etc., mais on oublie souvent que notre alimentation elle-même peut être une source importante de ces substances. Certains pesticides, par exemple, peuvent interférer avec nos hormones et favoriser la prise de poids.
Donc, en plus de revoir ses habitudes alimentaires en termes de quantités et de qualité (moins de produits transformés, plus de fruits et légumes), il peut être intéressant de se pencher sur l'origine de ce que l'on mange. Privilégier les produits bio, locaux, de saison, c'est non seulement bon pour la planète, mais aussi potentiellement bénéfique pour notre santé et notre ligne. Et dans cette logique, peut-être qu'en allant faire un tour sur des sites spécialisés comme https://www.regime10.fr/, on peut arriver à mieux comprendre comment on fonctionne.
Autre point souvent négligé : l'importance du sommeil et de la gestion du stress. Le manque de sommeil perturbe nos hormones de la faim (ghréline et leptine) et nous pousse à manger plus, surtout des aliments gras et sucrés. Le stress chronique, lui, augmente la production de cortisol, une hormone qui favorise le stockage des graisses abdominales. Donc, apprendre à mieux gérer son stress (méditation, yoga, sport, etc.) et à avoir un sommeil de qualité (7 à 8 heures par nuit) peut être un allié précieux dans la perte de poids.
Enfin, je pense qu'il est important de ne pas se focaliser uniquement sur le chiffre affiché par la balance. L'objectif, c'est avant tout d'être en bonne santé et de se sentir bien dans son corps. Si on perd quelques kilos au passage, tant mieux, mais l'essentiel est d'adopter un mode de vie sain et durable, qui nous permette de nous sentir en pleine forme et d'avoir l'énergie nécessaire pour profiter de la vie. C'est un peu une vision holistique, mais je pense qu'elle est pertinente pour une approche durable du "régime" (si tant est qu'on puisse appeler ça un régime!).
Oxalia, ton approche est intéressante. Tu dis que certains pesticides peuvent interférer avec nos hormones. Est-ce que tu aurais des exemples concrets de ces pesticides et des études qui le prouvent ? Je suis ingénieur en santé publique et je suis toujours intéressé par ce genre d'info, surtout si elles sont bien documentées.
Salut Édouard,
Alors, pour les exemples concrets, on peut citer le chlordécone (un insecticide organochloré) qui a été pas mal utilisé aux Antilles. Il est connu pour perturber le système endocrinien et favoriser des problèmes de santé, dont certains sont liés au métabolisme. Le glyphosate (un herbicide très répandu) est aussi suspecté d'avoir des effets similaires, bien que les études soient encore en cours et parfois contradictoires. Le problème, c'est que l'effet cocktail de plusieurs pesticides est encore mal connu, mais potentiellement plus important que l'effet d'une seule substance.
Pour les études, tu peux regarder les travaux de l'INSERM sur les perturbateurs endocriniens, ou les rapports de l'ANSES. Y'a aussi pas mal d'études épidémiologiques qui montrent une corrélation entre l'exposition à certains pesticides et des problèmes de santé métaboliques. Faut juste prendre le temps de fouiller un peu, c'est pas toujours facile de s'y retrouver dans la masse d'infos.
J'espère que ça répond à ta question !
SparkleToes, ton lien m'a fait penser que je devrais peut-être replonger dans mes bouquins de sommellerie, ça fait un bail ! (petite digression perso, pardon !). Plus sérieusement, c'est vrai que l'approche holistique d'Oxalia est pertinente. Ne pas juste penser calories, mais bien-être global, c'est une évidence. Modifier son environnement (au sens large), c'est peut-être ça la vraie clé d'un "régime" réussi sur le long terme.
LysArgenté, je suis d'accord avec toi sur l'importance de l'environnement au sens large. C'est un peu comme quand on parle de prévention en santé publique : on ne peut pas se contenter de dire aux gens de manger mieux et de bouger plus, il faut aussi agir sur les facteurs environnementaux qui influencent leurs choix.
Oxalia a soulevé des points intéressants sur les perturbateurs endocriniens. C'est vrai que c'est un sujet complexe, mais de plus en plus d'études montrent leur impact sur notre métabolisme. Par exemple, une étude de l'INSERM a révélé que l'exposition chronique à certains pesticides peut augmenter le risque d'obésité et de diabète de type 2.
Et c'est là que la dimension "sommellerie" peut rejoindre la discussion! Le vin (avec modération, bien sûr) est aussi un produit de l'environnement, et sa qualité dépend de nombreux facteurs : le sol, le climat, les pratiques agricoles… Choisir un vin produit de manière respectueuse de l'environnement, c'est aussi une façon de prendre soin de sa santé. Bon, je m'égare peut-être un peu, mais je trouve ça intéressant de faire des liens entre les différents aspects de notre vie. Et si en plus on peut allier plaisir et santé, c'est encore mieux !
Mais au-delà de l'alimentation, il y a aussi l'activité physique. On sait tous que c'est important, mais c'est pas toujours facile de s'y mettre. Perso, j'ai découvert le canoë il y a quelques années, et c'est devenu une vraie passion. C'est un sport complet qui permet de se dépenser tout en profitant de la nature. Et puis, c'est un excellent moyen de gérer le stress, ce qui est un facteur important dans la perte de poids, comme le soulignait Oxalia.
En bref, je pense que la clé d'un "régime" réussi, c'est d'adopter une approche globale et durable, qui prenne en compte tous les aspects de notre vie : l'alimentation, l'activité physique, le sommeil, la gestion du stress, et même notre environnement au sens large. Et surtout, il faut se faire plaisir et ne pas se focaliser uniquement sur le chiffre affiché par la balance.
Saglam, super ton point sur le canoé ! C'est clair que trouver une activité physique qu'on aime, ça change tout. Et puis, le lien avec la gestion du stress, tu as raison, c'est fondamental. On sous-estime trop souvent l'impact du stress sur notre poids et notre métabolisme en général.
Tout à fait Oxalia. Et pour aller plus loin sur la question du stress, il y a aussi l'aspect du "stress social" à prendre en compte. Les discriminations, le sentiment d'isolement, la précarité... tout cela peut générer un stress chronique qui impacte notre santé métabolique. C'est un peu le serpent qui se mord la queue : le stress nous pousse à manger mal, ce qui aggrave notre état de santé, ce qui augmente notre stress... Il faut essayer de briser ce cercle vicieux en agissant sur les causes profondes du stress, et pas seulement sur les symptômes. Un accompagnement psychologique ou social peut parfois être nécessaire.
Euh...Édouard, sans vouloir te vexer, je trouve que tu t'éloignes un peu du sujet initial, non ? On parlait de régimes et d'astuces pour perdre du poids, là on est rendu à parler de stress social et de précarité... C'est sûrement très important, mais c'est pas forcément ce que SparkleToes recherchait en ouvrant ce fil. Faut pas non plus culpabiliser les gens qui veulent juste perdre quelques kilos pour se sentir mieux dans leur peau, hein. Parfois, c'est juste une question d'esthétique, et y'a rien de mal à ça.
DJ Vif64 a raison de recadrer un peu. Sans nier l'importance du contexte social et du stress, restons pragmatiques. SparkleToes cherche des astuces concrètes. Une idée simple : utiliser une application de suivi alimentaire. Ça aide à visualiser ce qu'on mange réellement, souvent sans s'en rendre compte. MyFitnessPal, Lose It!, Yazio... y'en a plein. Ça permet de mieux contrôler les quantités et de faire des choix plus éclairés. Et c'est un bon outil pour prendre conscience de ses habitudes. Après, faut pas devenir obsédé, mais au début, ça peut être un bon coup de pouce.
Exactement Sağlam, le suivi, c'est la base pour moi ! Un peu comme un carnet de dégustation, mais pour le corps quoi... 😉 et c'est vrai que ça peut vite devenir obsessionnel, donc mollo sur la traque aux calories... 😅
Commentaires (12)
Si tu craques, c'est peut-être que tu te prives trop d'un coup. Au lieu d'un régime draconien, essaie plutôt de modifier tes habitudes progressivement. Commence par remplacer les sodas par de l'eau, ensuite réduis les portions de frites, etc. Des petits changements, mais constants. Et surtout, ne te prive pas complètement de ce que tu aimes, juste réduis les quantités. C'est plus facile à tenir sur le long terme.
C'est une excellente approche VintageTouch59 ! La progressivité, c'est la clé. Dans le même esprit, je partage une vidéo qui propose un challenge de 7 jours pour rééquilibrer son alimentation. L'idée, c'est de prendre de nouvelles habitudes en douceur.
Hello SparkleToes, et salut DJ Vif64 et VintageTouch59 pour vos premiers conseils, Je rejoins l'avis sur la progressivité, les régimes trop stricts sont souvent voués à l'échec, c'est un fait. En tant qu'experte en santé environnementale, je vais peut-être aborder la question sous un angle un peu différent, mais complémentaire. Au-delà de la restriction calorique (qui a son importance, bien sûr), il faut aussi considérer l'impact de notre environnement sur notre métabolisme. On parle beaucoup des perturbateurs endocriniens présents dans les plastiques, les cosmétiques, etc., mais on oublie souvent que notre alimentation elle-même peut être une source importante de ces substances. Certains pesticides, par exemple, peuvent interférer avec nos hormones et favoriser la prise de poids. Donc, en plus de revoir ses habitudes alimentaires en termes de quantités et de qualité (moins de produits transformés, plus de fruits et légumes), il peut être intéressant de se pencher sur l'origine de ce que l'on mange. Privilégier les produits bio, locaux, de saison, c'est non seulement bon pour la planète, mais aussi potentiellement bénéfique pour notre santé et notre ligne. Et dans cette logique, peut-être qu'en allant faire un tour sur des sites spécialisés comme https://www.regime10.fr/, on peut arriver à mieux comprendre comment on fonctionne. Autre point souvent négligé : l'importance du sommeil et de la gestion du stress. Le manque de sommeil perturbe nos hormones de la faim (ghréline et leptine) et nous pousse à manger plus, surtout des aliments gras et sucrés. Le stress chronique, lui, augmente la production de cortisol, une hormone qui favorise le stockage des graisses abdominales. Donc, apprendre à mieux gérer son stress (méditation, yoga, sport, etc.) et à avoir un sommeil de qualité (7 à 8 heures par nuit) peut être un allié précieux dans la perte de poids. Enfin, je pense qu'il est important de ne pas se focaliser uniquement sur le chiffre affiché par la balance. L'objectif, c'est avant tout d'être en bonne santé et de se sentir bien dans son corps. Si on perd quelques kilos au passage, tant mieux, mais l'essentiel est d'adopter un mode de vie sain et durable, qui nous permette de nous sentir en pleine forme et d'avoir l'énergie nécessaire pour profiter de la vie. C'est un peu une vision holistique, mais je pense qu'elle est pertinente pour une approche durable du "régime" (si tant est qu'on puisse appeler ça un régime!).
Oxalia, ton approche est intéressante. Tu dis que certains pesticides peuvent interférer avec nos hormones. Est-ce que tu aurais des exemples concrets de ces pesticides et des études qui le prouvent ? Je suis ingénieur en santé publique et je suis toujours intéressé par ce genre d'info, surtout si elles sont bien documentées.
Salut Édouard, Alors, pour les exemples concrets, on peut citer le chlordécone (un insecticide organochloré) qui a été pas mal utilisé aux Antilles. Il est connu pour perturber le système endocrinien et favoriser des problèmes de santé, dont certains sont liés au métabolisme. Le glyphosate (un herbicide très répandu) est aussi suspecté d'avoir des effets similaires, bien que les études soient encore en cours et parfois contradictoires. Le problème, c'est que l'effet cocktail de plusieurs pesticides est encore mal connu, mais potentiellement plus important que l'effet d'une seule substance. Pour les études, tu peux regarder les travaux de l'INSERM sur les perturbateurs endocriniens, ou les rapports de l'ANSES. Y'a aussi pas mal d'études épidémiologiques qui montrent une corrélation entre l'exposition à certains pesticides et des problèmes de santé métaboliques. Faut juste prendre le temps de fouiller un peu, c'est pas toujours facile de s'y retrouver dans la masse d'infos. J'espère que ça répond à ta question !
SparkleToes, ton lien m'a fait penser que je devrais peut-être replonger dans mes bouquins de sommellerie, ça fait un bail ! (petite digression perso, pardon !). Plus sérieusement, c'est vrai que l'approche holistique d'Oxalia est pertinente. Ne pas juste penser calories, mais bien-être global, c'est une évidence. Modifier son environnement (au sens large), c'est peut-être ça la vraie clé d'un "régime" réussi sur le long terme.
LysArgenté, je suis d'accord avec toi sur l'importance de l'environnement au sens large. C'est un peu comme quand on parle de prévention en santé publique : on ne peut pas se contenter de dire aux gens de manger mieux et de bouger plus, il faut aussi agir sur les facteurs environnementaux qui influencent leurs choix. Oxalia a soulevé des points intéressants sur les perturbateurs endocriniens. C'est vrai que c'est un sujet complexe, mais de plus en plus d'études montrent leur impact sur notre métabolisme. Par exemple, une étude de l'INSERM a révélé que l'exposition chronique à certains pesticides peut augmenter le risque d'obésité et de diabète de type 2. Et c'est là que la dimension "sommellerie" peut rejoindre la discussion! Le vin (avec modération, bien sûr) est aussi un produit de l'environnement, et sa qualité dépend de nombreux facteurs : le sol, le climat, les pratiques agricoles… Choisir un vin produit de manière respectueuse de l'environnement, c'est aussi une façon de prendre soin de sa santé. Bon, je m'égare peut-être un peu, mais je trouve ça intéressant de faire des liens entre les différents aspects de notre vie. Et si en plus on peut allier plaisir et santé, c'est encore mieux ! Mais au-delà de l'alimentation, il y a aussi l'activité physique. On sait tous que c'est important, mais c'est pas toujours facile de s'y mettre. Perso, j'ai découvert le canoë il y a quelques années, et c'est devenu une vraie passion. C'est un sport complet qui permet de se dépenser tout en profitant de la nature. Et puis, c'est un excellent moyen de gérer le stress, ce qui est un facteur important dans la perte de poids, comme le soulignait Oxalia. En bref, je pense que la clé d'un "régime" réussi, c'est d'adopter une approche globale et durable, qui prenne en compte tous les aspects de notre vie : l'alimentation, l'activité physique, le sommeil, la gestion du stress, et même notre environnement au sens large. Et surtout, il faut se faire plaisir et ne pas se focaliser uniquement sur le chiffre affiché par la balance.
Saglam, super ton point sur le canoé ! C'est clair que trouver une activité physique qu'on aime, ça change tout. Et puis, le lien avec la gestion du stress, tu as raison, c'est fondamental. On sous-estime trop souvent l'impact du stress sur notre poids et notre métabolisme en général.
Tout à fait Oxalia. Et pour aller plus loin sur la question du stress, il y a aussi l'aspect du "stress social" à prendre en compte. Les discriminations, le sentiment d'isolement, la précarité... tout cela peut générer un stress chronique qui impacte notre santé métabolique. C'est un peu le serpent qui se mord la queue : le stress nous pousse à manger mal, ce qui aggrave notre état de santé, ce qui augmente notre stress... Il faut essayer de briser ce cercle vicieux en agissant sur les causes profondes du stress, et pas seulement sur les symptômes. Un accompagnement psychologique ou social peut parfois être nécessaire.
Euh...Édouard, sans vouloir te vexer, je trouve que tu t'éloignes un peu du sujet initial, non ? On parlait de régimes et d'astuces pour perdre du poids, là on est rendu à parler de stress social et de précarité... C'est sûrement très important, mais c'est pas forcément ce que SparkleToes recherchait en ouvrant ce fil. Faut pas non plus culpabiliser les gens qui veulent juste perdre quelques kilos pour se sentir mieux dans leur peau, hein. Parfois, c'est juste une question d'esthétique, et y'a rien de mal à ça.
DJ Vif64 a raison de recadrer un peu. Sans nier l'importance du contexte social et du stress, restons pragmatiques. SparkleToes cherche des astuces concrètes. Une idée simple : utiliser une application de suivi alimentaire. Ça aide à visualiser ce qu'on mange réellement, souvent sans s'en rendre compte. MyFitnessPal, Lose It!, Yazio... y'en a plein. Ça permet de mieux contrôler les quantités et de faire des choix plus éclairés. Et c'est un bon outil pour prendre conscience de ses habitudes. Après, faut pas devenir obsédé, mais au début, ça peut être un bon coup de pouce.
Exactement Sağlam, le suivi, c'est la base pour moi ! Un peu comme un carnet de dégustation, mais pour le corps quoi... 😉 et c'est vrai que ça peut vite devenir obsessionnel, donc mollo sur la traque aux calories... 😅