Pour l'identification, oui, il y a des moments... Disons que c'est pas toujours fluide. J'ai eu le cas où, aprés plusieurs tentatives infructueuses, j'ai du carrément appeler pour débloquer la situation. Un peu contre productif pour une plateforme de dématérialisation, vous voyez...
C'est vrai que l'identification... 😅 C'est un peu la loterie parfois. Je comprends tout à fait la frustration de devoir appeler pour débloquer l'accès, alors que le but est justement de gagner du temps.
En parlant de perte de temps, j'ai lu une étude (bon, elle date un peu, de 2021) qui estimait que les erreurs techniques sur les plateformes de dématérialisation coûtaient en moyenne 1h30 par semaine aux professionnels de santé. ⏳ Si on considère qu'un médecin travaille en moyenne 50 heures par semaine, ça représente quand même 3% du temps de travail gaspillé... C'est énorme ! 😮 Et ça, c'est sans compter le stress et l'énervement que ça engendre.
Je me demande si l'Assurance Maladie a prévu des mesures compensatoires pour ça. 🤔 Peut-être des formations plus poussées, ou une assistance technique plus réactive ? Parce que si Amelipro est censée simplifier nos vies, elle risque de devenir un boulet si les problèmes persistent. J'espère qu'ils travaillent sérieusement sur l'interopérabilité avec d'autres systèmes, parce que jongler entre plusieurs plateformes, c'est juste pas possible à long terme. 😵💫
Quand tu dis que jongler entre plusieurs plateformes c'est juste pas possible, je suis 100% d'accord. 🤯 On se retrouve à passer plus de temps à naviguer entre les différents outils qu'à soigner les patients. C'est un problème d'ergonomie et d'interopérabilité majeur. J'espère vraiment qu'ils vont se pencher sérieusement sur la question. 🙏
Je partage complètement ton avis sur le jonglage entre les plateformes. C'est usant. Pour ma part, je suis phytothérapeute et même si je suis moins concernée directement, je vois bien l'impact sur mes confrères médecins. On a l'impression de se noyer sous une montagne de paperasse numérique… et le but premier, le patient, finit par passer au second plan… C'est désespérant.
Bon, je reviens vers vous après avoir contacté l'assistance d'Amelipro, comme ZenithAnimal le suggérait. Disons que le premier contact a été... laborieux. Après pas mal d'attente, j'ai enfin eu quelqu'un, mais la personne semblait un peu dépassée.
Finalement, mon problème d'identification a été "résolu" (enfin, contourné) par une réinitialisation complète de mon compte. J'ai donc du refaire toutes mes infos, recréer mon mot de passe, etc. Pas hyper pratique, mais au moins ça remarche.
Par contre, pour l'interopérabilité avec mon logiciel de gestion de cabinet, c'est toujours le même cirque. J'ai l'impression qu'ils n'ont pas vraiment de solution à court terme. Donc, on continue de jongler… 🤷♂️
Je pense qu'il faudrait insister auprès de vos instances ordinales pour qu'elles fassent remonter ces problèmes.
Une autre piste, si vous utilisez un logiciel de gestion de cabinet, c'est de voir directement avec leur service technique. Ils ont peut-être des solutions ou des contournements en attendant qu'Amelipro se bouge. Souvent, ils connaissent les failles et ont des astuces, même si c'est du bricolage. On est parfois mieux servi par son éditeur de logiciel que par l'Assurance Maladie elle-même, c'est dire…
C'est clair qu'insister auprès des instances ordinales, c'est une bonne idée. 👍 Plus on est nombreux à faire remonter les soucis, plus ça a de chances de bouger. Et effectivement, checker avec le service technique de son logiciel de gestion, c'est un bon plan B. Ils sont souvent au taquet pour trouver des solutions. Merci pour le conseil ! 😊
Si je résume bien, Amelipro pose surtout des soucis d'identification et d'interopérabilité avec les logiciels de gestion, ce qui fait perdre pas mal de temps. L'assistance semble pas top et on se demande si une action via les instances ordinales serait pas une bonne piste, en plus de voir avec les éditeurs de logiciels.
Pour l'interopérabilité, y'a des connecteurs API, mais c'est souvent payant. Certains éditeurs de logiciels proposent des passerelles, parfois incluses dans l'abonnement, qui facilitent l'échange de données avec Amelipro. Ça vaut le coup de se renseigner, même si ça implique un coût supplémentaire. Ça peut éviter pas mal de ressaisie et de jonglage à long terme.
Exactement. Pour l'interop, j'ajouterais que regarder du côté des solutions open source peut parfois débloquer des situations. C'est un peu technique, mais certains développeurs proposent des modules ou des scripts qui font le lien entre Amelipro et d'autres outils. C'est pas toujours simple à mettre en place, mais ça peut être une alternative moins onéreuse.
C'est marrant que tu parles d'open source, parce que ça rejoint une réflexion que j'avais suite au message de ZenithAnimal sur les 3% du temps de travail perdu à cause des erreurs techniques. Si on transposait ce temps (et donc ce coût) vers le développement de solutions open source maintenues par la communauté, on pourrait peut-être créer des alternatives plus adaptées à nos besoins réels.
Je me demande si l'Assurance Maladie a déjà envisagé de sponsoriser des projets de ce type. Ça pourrait être un investissement rentable à long terme. Imaginez, au lieu de payer des licences à des éditeurs privés, ils financent des développeurs pour créer des modules open source qui facilitent l'interopérabilité.
Après, faut voir comment on gère la sécurité des données dans ce cas. C'est un point sensible, mais il existe des solutions pour sécuriser les projets open source. Et puis, la transparence du code permettrait peut-être de détecter plus rapidement les failles de sécurité.
En tout cas, ça mérite d'être exploré. Et ça éviterait peut-être de se retrouver à devoir "bidouiller" comme tu dis, parce qu'on aurait des outils plus stables et mieux maintenus. Mais bon, c'est peut-être un peu utopiste comme vision... Faudrait déjà que l'Assurance Maladie accepte de lâcher un peu le contrôle et de faire confiance à la communauté. Pas gagné !
Commentaires (15)
En tant qu'auteur du sujet, je rajouterai que j'ai entendu dire qu'il y avait pas mal de bugs au niveau de l'identification, vous confirmez ?
Pour l'identification, oui, il y a des moments... Disons que c'est pas toujours fluide. J'ai eu le cas où, aprés plusieurs tentatives infructueuses, j'ai du carrément appeler pour débloquer la situation. Un peu contre productif pour une plateforme de dématérialisation, vous voyez...
C'est vrai que l'identification... 😅 C'est un peu la loterie parfois. Je comprends tout à fait la frustration de devoir appeler pour débloquer l'accès, alors que le but est justement de gagner du temps. En parlant de perte de temps, j'ai lu une étude (bon, elle date un peu, de 2021) qui estimait que les erreurs techniques sur les plateformes de dématérialisation coûtaient en moyenne 1h30 par semaine aux professionnels de santé. ⏳ Si on considère qu'un médecin travaille en moyenne 50 heures par semaine, ça représente quand même 3% du temps de travail gaspillé... C'est énorme ! 😮 Et ça, c'est sans compter le stress et l'énervement que ça engendre. Je me demande si l'Assurance Maladie a prévu des mesures compensatoires pour ça. 🤔 Peut-être des formations plus poussées, ou une assistance technique plus réactive ? Parce que si Amelipro est censée simplifier nos vies, elle risque de devenir un boulet si les problèmes persistent. J'espère qu'ils travaillent sérieusement sur l'interopérabilité avec d'autres systèmes, parce que jongler entre plusieurs plateformes, c'est juste pas possible à long terme. 😵💫
Quand tu dis que jongler entre plusieurs plateformes c'est juste pas possible, je suis 100% d'accord. 🤯 On se retrouve à passer plus de temps à naviguer entre les différents outils qu'à soigner les patients. C'est un problème d'ergonomie et d'interopérabilité majeur. J'espère vraiment qu'ils vont se pencher sérieusement sur la question. 🙏
Je partage complètement ton avis sur le jonglage entre les plateformes. C'est usant. Pour ma part, je suis phytothérapeute et même si je suis moins concernée directement, je vois bien l'impact sur mes confrères médecins. On a l'impression de se noyer sous une montagne de paperasse numérique… et le but premier, le patient, finit par passer au second plan… C'est désespérant.
Merci pour vos retours et vos analyses. C'est bien d'avoir des chiffres concrets sur le temps perdu, ça permet de mieux visualiser l'ampleur du souci.
Bon, je reviens vers vous après avoir contacté l'assistance d'Amelipro, comme ZenithAnimal le suggérait. Disons que le premier contact a été... laborieux. Après pas mal d'attente, j'ai enfin eu quelqu'un, mais la personne semblait un peu dépassée. Finalement, mon problème d'identification a été "résolu" (enfin, contourné) par une réinitialisation complète de mon compte. J'ai donc du refaire toutes mes infos, recréer mon mot de passe, etc. Pas hyper pratique, mais au moins ça remarche. Par contre, pour l'interopérabilité avec mon logiciel de gestion de cabinet, c'est toujours le même cirque. J'ai l'impression qu'ils n'ont pas vraiment de solution à court terme. Donc, on continue de jongler… 🤷♂️
Je pense qu'il faudrait insister auprès de vos instances ordinales pour qu'elles fassent remonter ces problèmes. Une autre piste, si vous utilisez un logiciel de gestion de cabinet, c'est de voir directement avec leur service technique. Ils ont peut-être des solutions ou des contournements en attendant qu'Amelipro se bouge. Souvent, ils connaissent les failles et ont des astuces, même si c'est du bricolage. On est parfois mieux servi par son éditeur de logiciel que par l'Assurance Maladie elle-même, c'est dire…
C'est clair qu'insister auprès des instances ordinales, c'est une bonne idée. 👍 Plus on est nombreux à faire remonter les soucis, plus ça a de chances de bouger. Et effectivement, checker avec le service technique de son logiciel de gestion, c'est un bon plan B. Ils sont souvent au taquet pour trouver des solutions. Merci pour le conseil ! 😊
Si je résume bien, Amelipro pose surtout des soucis d'identification et d'interopérabilité avec les logiciels de gestion, ce qui fait perdre pas mal de temps. L'assistance semble pas top et on se demande si une action via les instances ordinales serait pas une bonne piste, en plus de voir avec les éditeurs de logiciels.
Tout à fait.
Pour l'interopérabilité, y'a des connecteurs API, mais c'est souvent payant. Certains éditeurs de logiciels proposent des passerelles, parfois incluses dans l'abonnement, qui facilitent l'échange de données avec Amelipro. Ça vaut le coup de se renseigner, même si ça implique un coût supplémentaire. Ça peut éviter pas mal de ressaisie et de jonglage à long terme.
Exactement. Pour l'interop, j'ajouterais que regarder du côté des solutions open source peut parfois débloquer des situations. C'est un peu technique, mais certains développeurs proposent des modules ou des scripts qui font le lien entre Amelipro et d'autres outils. C'est pas toujours simple à mettre en place, mais ça peut être une alternative moins onéreuse.
C'est une piste vraiment intéressante. L'open source a souvent des solutions astucieuses, même si elles demandent un peu de bidouille. 💡
C'est marrant que tu parles d'open source, parce que ça rejoint une réflexion que j'avais suite au message de ZenithAnimal sur les 3% du temps de travail perdu à cause des erreurs techniques. Si on transposait ce temps (et donc ce coût) vers le développement de solutions open source maintenues par la communauté, on pourrait peut-être créer des alternatives plus adaptées à nos besoins réels. Je me demande si l'Assurance Maladie a déjà envisagé de sponsoriser des projets de ce type. Ça pourrait être un investissement rentable à long terme. Imaginez, au lieu de payer des licences à des éditeurs privés, ils financent des développeurs pour créer des modules open source qui facilitent l'interopérabilité. Après, faut voir comment on gère la sécurité des données dans ce cas. C'est un point sensible, mais il existe des solutions pour sécuriser les projets open source. Et puis, la transparence du code permettrait peut-être de détecter plus rapidement les failles de sécurité. En tout cas, ça mérite d'être exploré. Et ça éviterait peut-être de se retrouver à devoir "bidouiller" comme tu dis, parce qu'on aurait des outils plus stables et mieux maintenus. Mais bon, c'est peut-être un peu utopiste comme vision... Faudrait déjà que l'Assurance Maladie accepte de lâcher un peu le contrôle et de faire confiance à la communauté. Pas gagné !